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    AG 2020 : un bon cru !

     

    AG 2020 : un bon cru !AG 2020 : un bon cru !

     

    AG 2020 : un bon cru !

    AG 2020 : un bon cru !

    AG 2020 : un bon cru !

     

     


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  • Cavalaire, à l'instar d'autres communes du littoral, a été profondément transformé par le tourisme.  Cependant, à  partir de Cap Cavalaire, le paysage retrouve un peu de son caractère sauvage, du fait d'une côte très découpée.

    Le Rayol Canadel,  loin des grands axes routiers,  demeure plus authentique.  C'est le chemin de fer du "Sud France", encore appelé "train des pignes" qui a préludé à son urbanisation, modeste tout de même.

    La randonnée démarre au Hameau du Dattier, à la sortie ouest de Cavalaire, sur l'ancienne ligne ferroviaire, transformée en chemin de randonnée. Cette piste relie les 2 communes,  surplombe  la mer et le Jardin botanique du Rayol.  Le "Jardin des Méditerranées", aménagé par le paysagiste Gilles Clément, réunit sur un espace de 20 ha, les collections de plantes de toutes les régions du monde, au climat méditerranéen. Visite prévue après le pique nique : prix groupe 10 €

    L'arrivée au Rayol Canadel -lieu où poussent les cannes et jaillissent les sources- se poursuit jusqu'en haut d'un escalier monumental (1920), au Patek ou Patus, lieu de rassemblement à usage collectif, aire de battage, ou de rassemblement de troupeaux..
     

     

    CAVALAIRE : dimanche 23 février

     

    Au retour, passage à la Villa Foncin, devenue propriété du Conservatoire du littoral, par donation de la famille du célèbre historien et géographe, Pierre Foncin (1841-1916) auteur des  cartes de France dans les écoles communales de notre enfance !

    CAVALAIRE : dimanche 23 février

     

     

     STE ANASTASIE SUR ISSOLE - dimanche 15 novembre

     

     VOIR LA METEO !

     

     

     

     
    LE TOPO DE LA RANDO : env. 4 H (10 km) - dénivelé 100 m- visite du jardin du RAYOL CAVALAIRE : dimanche 23 février

     

     

     

     

     

     

     

      

    LE BULLETIN DE FEVRIER (clic sur le lien)

     

    L' ITINERAIRE :   RD 1098 route du bord de mer-carr. la Foux, dir. CAVALAIRE, Hameau du Dattier 

    - RV au parking du Dattier (l'Usine), après Cavalaire

     co-voiturage : 3 : temps estimé : 50' depuis Fréjus 

     

    RENS. & INSCRIPTIONS :   MARTINE 06 12 52 40 21 (tél ou SMS)

    RV : parking du centre commercial du golf à  8 H 30 

     
      

     


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  • Venez nombreux partager ce moment de convivialité, champagne offert à tous nos adhérents !

    (sur inscription)

     

     

    AG de NATURE, PASSIONS : samedi 22 février

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  • RUSSIE IMPERIALE & ETERNELLE  

     

    MOSCOU, inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco & son ANNEAU D'OR, constitué d'anciennes cités princières, véritables musées en plein-air, ces villes médiévales sont un concentré de l'histoire russe qui s'exprime dans la richesse de leur patrimoine. 

                                                                     

    NOTRE PROJET DE VOYAGE 2021 !

      

    NOTRE PROJET DE VOYAGE 2021 !

    EXTENSION : LA SIBERIE & le train transsibérien jusqu'à OULAN BATOR (MONGOLIE).

    NOTRE PROJET DE VOYAGE 2021 !

     

    + INFOS à l'AG et présentation du projet à la soirée vidéo de novembre 2020 -voyage mai 2021 (en dehors des nuits blanches) 

     

     

     

     

     

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  • NB : changement de programme pour la sortie du dimanche 23 février, avec un départ depuis Cavalaire

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  • Merveilleux village à l'écart du tumulte de la Côte, Grimaud, a su conserver le caractère typique des villages médiévaux, avec ses placettes & fontaines, arcades et rues en calades, bordées de belles maisons anciennes. Le Château féodal (XIe siècle) classé monument historique, jamais vaincu, mais démantelé et détruit à la Révolution, a bénéficié d'une restauration qui met en évidence ses 4 tours circulaires.

    GRIMAUD : dimanche 3 novembre

    LE CHATEAU DE GRIMAUD DANS LA CRECHE DE MAXIME CODOU à LA GARDE FREINET 

     

    GRIMAUD : dimanche 3 novembre

    Le parcours de la randonnée est jalonné de curiosités : le Pont des Fées, -aqueduc du XVe siècle, arche de 14 m d'ouverture qui amenait l'eau de la source de Pancau située sur la colline en face à 80 m de haut pour remonter au village à 50 m de haut sur l'autre versant !- le moulin à vent de Grimaud, le menhir et le hameau des Vernades, établi dans une jolie campagne et enfin le retour sur Grimaud avec une vue remarquable sur le château et ses spectaculaires tours.   

    GRIMAUD : dimanche 3 novembre

     

     STE ANASTASIE SUR ISSOLE - dimanche 15 novembre

     

     VOIR LA METEO !

     

     

     

     
    LE TOPO DE LA RANDO : env. 4 H 30 (14 km) - dénivelé 450 m

     

     GRIMAUD : dimanche 3 novembre

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    LE BULLETIN DE FEVRIER (clic sur le lien)

     

    L' ITINERAIRE :   RD 1098 - route du bord de mer  - puis D14 direction GRIMAUD

    - RV au parking du château de GRIMAUD

     co-voiturage : 2 : temps estimé : 35' depuis Fréjus 

     

    RENS. & INSCRIPTIONS :   Pierre VILLEMIN   06 13 61 43 44 (tél ou SMS)

    RV : parking du centre commercial du golf à  8 H 30 

     
      

     


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  • Nos séjours 2020 / OPTIONS/INSCRIPTIONS : pendant l'Assemblée générale du 22 février

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    Villa « Claudine » en bordure de mer baie d’Agay, une bien jolie villa du début du siècle dernier !

    Oui ! Il s’agit bien de « Claudine » l’héroïne des romans de Colette ! Non ! Cette villa n’a jamais appartenu à Colette ! Mais  Colette  y  séjourna  plusieurs fois. C’est son amie Pauline Polaire, une   comédienne qui incarna à la scène le personnage de « Claudine » dans « Claudine à l’école »  qui fit construire cette demeure en 1903.  Colette est donc venue  de nombreuses fois à Saint Raphaël, en séjour à Agay ou seulement de passage pour rejoindre sa villa « la Treille Muscate » à Saint Tropez ;  il ne m’en fallait pas plus pour que je m’intéresse à  l’extraordinaire vie de cette écrivaine qui laissa à la littérature française  une cinquantaine de romans, mais pas de rue à son nom à  Saint Raphaël !

    Née le 28 janvier 1873 à Saint Sauveur en Puisaye dans l’Yonne, Sidonie-Gabrielle est la fille de Sidonie veuve Landoy et de Jules-Joseph Colette. Etant la  plus jeune d’une fratrie de quatre enfants, elle fut choyée par ses parents et ses frères et sœurs, ce qui fit d’elle une personne très enjouée.  Son père, percepteur dans la petite ville de Bourgogne, avait été officier  mais  mutilé lors de la dernière guerre il avait des difficultés pour se déplacer,  grand lecteur il donna  à Sidonie-Gabrielle  l’amour de la littérature et de l’écriture. La jeune fille  s’imprégna aussi des idées laïques et féministes développées par sa mère.  Bonne élève, elle fit ses études primaires dans son village natal, puis alla au collège à Chatillon, où la famille dut  se déplacer pour des raisons financières, elle  y obtint le Brevet Elémentaire qui lui  permettait d’être institutrice.  Elle se préparait à une vie provinciale quand elle rencontra Henri Gautier Villars dit Willy,  de  onze ans son ainé, qui devint son mari en 1893.

    Marcher, papoter : le résumé

    C’est donc à 20 ans que Sidonie-Gabrielle arriva à Paris. Willy, critique de théâtre, écrivain populaire et propriétaire d’une maison d’édition, introduisit sa femme dans le milieu artistique et intellectuel de la capitale où elle fit grand effet, par ses connaissances en littérature mais surtout par son accent rocailleux, sa manière de raconter sa province et sa joie de vivre. Encouragée par Willy elle se mit à l’écriture et dès 1900 apparurent les premiers romans des « Claudine »,  mais signés Willy ! N’ayant donc que peu de retour des droits d’auteur engendrés par ses romans elle décida en  femme libre de gagner sa vie. Sportive et de belle allure elle s’initia aux pantomimes orientalistes, elle y excella et fit les belles soirées du Moulin rouge et du Bataclan.  Prise dans ce tourbillon de festivités, propulsée dans la découverte d’une vie débridée, elle divorça en 1905 d’un mari volage et fit le choix de vivre avec une femme, la comtesse de Morny qu’elle appela Missy , ce fut son premier gros scandale ; elle signa alors ses romans du nom de Colette. 

    Marcher, papoter : le résumé

    En 1912, elle rencontra Henri de Jouvenel, un très sérieux journaliste politicien, connaissant les écrits de Colette celui-ci  lui proposa de rentrer au journal « Le Matin » comme chroniqueuse.  Le temps était venu pour elle de changer de vie ! Elle devint Madame de Jouvenel,  rédactrice en chef des pages culturelles du journal, eut une fille  qu’elle dénomma « Bel Gazou »  de son vrai nom Colette de Jouvenel et continua d’écrire des romans dans lesquels elle mettait en scène les personnages croisés dans la vraie vie. La guerre de 14-18 l’éloigna de Paris, Henri de Jouvenel voyageait beaucoup et n’était guère moins volage que son précédent mari. Est-ce pour passer le temps, ou par vengeance, ou par passion qu’elle initia à l’amour le jeune Bertrand de Jouvenel, fils d’un premier mariage d’Henry et âgé seulement de 16 ans ? Leur idylle dura plusieurs années et se solda bien évidemment par un divorce avec Henry qui eut la garde de « Bel Gazou » et ce fut un nouveau  scandale dont Colette n’eut cure.

    C’est à Juan-les-pins en 1925 qu’elle croisa celui qui devint son troisième et dernier mari ! Vingt ans de moins qu’elle, mais un coup de foudre respectif, et Colette devint madame Goudeket, épouse de Maurice Goudeket courtier en perles ! Ils achetèrent à Saint Tropez ce qui deviendra le havre de paix où Colette passera le plus clair de son temps, la « Treille Muscate ». Là, adulée par un Maurice prévenant, entourée de ses chats, entre bains de mer, promenades à bicyclette et jardinage elle écrivit bon nombre de romans et goutait enfin à la vie rêvée. Mais la crise de 1929 les jeta tous deux à la recherche de financement  « pour l’alimentaire » comme le disait Colette. Elle reprit la plume pour les chroniques journalistiques, les critiques littéraires, elle écrivit des scénarios et des slogans publicitaires, elle se déplaça pour donner des conférences littéraires ;  ils s’essayèrent même, tous deux,  au développement de deux salons de beauté, sans grand retour financier d’ailleurs. C’est juste avant la guerre que la « Treille Muscate » fut vendue, « trop de monde à Saint Tropez depuis les congés payés  de 36 » prétexta Colette.

    Marcher, papoter : le résumé

     Revenus à Paris, ils occupèrent un appartement près du Palais Royal, Colette percluse de rhumatismes sortait peu, et tenait salon dans sa chambre. Une petite maison en Bretagne permettait d’échapper de temps en temps à la tension nerveuse que provoquait la présence des troupes allemandes dans Paris. Maurice, juif de naissance, fut même arrêté et emprisonné par la Gestapo, il ne dut son salut qu’au pouvoir de persuasion de sa compagne. Le pays libéré, Colette élue à l’Académie Goncourt  en devint la présidente en 1949. Maurice Goudeket ayant créé la maison d’édition Fleuron se mit en quête d’éditer les œuvres complètes de Colette, elles parurent en 17 volumes quelques mois avant la disparition de l’écrivaine le 3 aout 1954.

    « Trois mariages et un enterrement » ! Le sien fut national, première femme à avoir des funérailles nationales alors que l’Eglise refusa une cérémonie religieuse eu égard à sa vie scandaleuse ! Son corps repose dans le carré VIP au Père Lachaise !

    Marcher, papoter : le résumé


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  • Si ça vous tente... 

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  • BULLETIN février Comme il est de tradition, nous prévoyons nos sorties de février dans des secteurs où fleurissent les mimosas, annonciateurs de la fin de l'hiver.

    Aussi, n'en manquez aucune !

    Et bien sûr, pensez à vous inscrire pour notre AG du 22 suivie d'un déjeuner au restaurant le Saint Aygulf.

    Pour ceux qui ne peuvent rester, nous les convions à venir partarger le verre de l'amitié lors de l'apéritif qui clôturera la réunion. Venez nombreux !

     

     

     LE BULLETIN de FEVRIER 2020  (clic sur le titre) 

     

     

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